Catégorie : Nouvelles
La Nuit des sans-abri : un rassemblement en solidarité aux personnes en situation d’itinérance!
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
La Nuit des sans-abri : un rassemblement en solidarité aux personnes en situation d’itinérance!
Montréal, le 17 octobre 2023 – Le 20 octobre prochain, partout au Québec aura lieu la 34e édition de La Nuit des sans-abri. Tous les citoyens et citoyennes sont invité.e.s à se joindre à ce rassemblement solidaire et festif de leur région pour témoigner de leur solidarité envers les personnes en situation d’itinérance.
L’itinérance plus présente que jamais
Dans un contexte de crise du logement, d’inflation, de précarisation du filet communautaire (pénurie de main-d’œuvre, sous-financement des organismes communautaires), etc., les problématiques reliées au phénomène de l’itinérance ne peuvent qu’être exacerbées et créent une pression énorme dans notre paysage social. Les personnes en situation d’itinérance, déjà profondément vulnérables, sont d’autant plus confrontées à la difficulté d’améliorer leurs conditions de vie : victimes de préjugés, sans capacité de se loger avec un revenu totalement insuffisant pour survivre. La Nuit des sans-abri est à plus forte raison essentielle et se veut un événement de vigile en soutien à ces personnes.
Mais qu’est-ce que c’est La Nuit des sans-abri?
La Nuit des sans-abri a été fondée en 1989 par les Auberges du cœur du Québec connu d’abord sous le nom de “La nuit des jeunes sans-abri”. Anciennement tenue au centre-ville de Montréal, elle s’est éclatée, en 1997, pour permettre de rejoindre les gens dans toutes les communautés du Québec. La Nuit des sans-abri a toujours lieu le 3e vendredi du mois d’octobre dans plus 60 municipalités. C’est une occasion de rassemblement dans un lieu public où il peut y avoir musique, témoignages, expositions distribution de vêtements, de nourriture, etc.
Le RSIQ et La Nuit des sans-abri
Le Réseau SOLIDARITÉ Itinérance du Québec prend part à l’organisation de La Nuit des sans-abri depuis 2019. Il est désormais responsable de la coordination et la communication nationale en soutenant les différents comités régionaux.
Pour toutes les informations reliées aux différentes villes : www.itinerance.ca/nsa
Page Facebook de l’événement : https://www.facebook.com/nuitdessansabri
L’événement Facebook : https://www.facebook.com/events/342966051390432
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Julia Ouellet
Chargée des communications
(418) 318-7512
communications@rsiq.org
La crise en itinérance : où sont les autres ministères?
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Crise en itinérance : où sont les autres ministères?
Montréal, le 14 septembre 2023 – Le Réseau SOLIDARITÉ itinérance du Québec, souligne la reconnaissance de la crise de l’itinérance vécue dans l’ensemble de la province, mais souhaite aussi rappeler la manière dont il est possible de la dénouer. Suite à l’adoption unanime d’une motion lors de la sortie des résultats du dénombrement 2022, soit celle de ‘’prendre acte de la hausse du nombre de personnes en situation d’itinérance depuis 2018 et de reconnaître qu’il y a crise de l’itinérance au Québec’’, comment expliquer que nos ministères demeurent silencieux à ce jour? Pourquoi les ministères des Affaires municipales et de l’habitation, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, de l’Éducation, de l’Économie et de l’innovation, de l’Immigration, de la Sécurité publique et de la Justice n’ont pas encore bonifié leurs actions?
Un portrait défendu par le milieu communautaire depuis longtemps
Le milieu communautaire est au front de la crise en itinérance depuis de nombreuses années et a nommé les réalités terrain à de multiples reprises. Déjà en 2021, le RSIQ affirmait que nous ferions face à l’augmentation de l’itinérance durant au moins les cinq prochaines années. Maintenant que ces sombres prédictions sont bien réelles, qui se mettra à la table de travail ?
Une invitation à investir sur TOUS les fronts
Alors que le ministre responsable des Services sociaux annonce de nouvelles sommes d’investissements de 15.5M$ dédiées à de l’hébergement d’urgence et de transition, nous nous demandons que font les autres ministères face à cette crise? Et qu’en est-il de la prévention?
Sommet de l’itinérance 2023
À l’aube du Sommet sur l’itinérance à Québec, nous jugeons essentiel que le gouvernement et ses ministères fassent une annonce visant à bonifier de façon substantielle les moyens financiers pour la prévention et la réduction de l’itinérance au Québec. Nous pourrons, dès lors, affirmer que le gouvernement respecte son engagement envers la Politique nationale de lutte à l’itinérance en faisant de cette lutte une responsabilité collective.
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Boromir Vallée Dore
Directeur général Réseau Solidarité Itinérance du Québec
(581) 849-8951
dg@rsiq.org
Des engagements pour nos concitoyens.es en situation d’itinérance
Lettre d'opinion du RSIQ
Des engagements pour nos concitoyens.es en situation d’itinérance
À la veille du Sommet municipal sur l’itinérance organisé par l’Union des municipalités du Québec (UMQ), rappelons-nous l’importance de mettre au cœur de nos réflexions les personnes dont il est question : nos concitoyen.ne.s en situation d’itinérance ou à risque de l’être. Sachant que le phénomène de l’itinérance est complexe et que des milliers de personnes, de tous âges et parcours, font face à des conditions de vie inacceptables au Québec, nous avons le devoir d’agir sur tous les fronts, mais surtout de le faire ensemble.
Dans la foulée de l’augmentation de l’itinérance sur tout le territoire du Québec, nous saluons que l’UMQ mette en place des efforts pour concerter les différentes municipalités autour de la volonté d’agir sur le phénomène de l’itinérance. Selon l’UMQ, le sommet se veut une occasion de « proposer des solutions novatrices, et surtout, de se mettre collectivement en mode résultats pour répondre aux enjeux de l’itinérance ». L’évènement permettra de réunir des parties prenantes qui disposent de différents outils et leviers d’action : en matière de logement (transitoire, permanent, avec soutien communautaire, PSL), de processus d’accès aux services de santé et aux services sociaux, d’occupation d’espace public, de gestion de la crise des surdoses, de prévention, de lutte au profilage social par la modification des règlements municipaux, etc. Nous nous attendons que toutes les parties prenantes s’engagent à améliorer les conditions de vie des personnes à risque ou en situation d’itinérance. En ce sens, voici deux autres engagements incontournables qui nous permettraient de qualifier ce sommet de réussite.
L’augmentation de l’itinérance dans plusieurs villes au Québec a forcé les municipalités à augmenter le déploiement d’actions pour supporter leurs concitoyens.nes les plus vulnérables, donc à davantage s’intéresser au phénomène de l’itinérance. C’est pourquoi, pour l’avenir, nous désirons qu’elles s’engagent à inscrire leurs actions en cohérence avec la politique nationale de lutte à l’itinérance. Cette politique a permis de dégager des consensus dans la province sur la définition de l’itinérance qui inclus la notion d’instabilité résidentielle et de désaffiliation sociale, la reconnaissance du pouvoir d’agir des personnes en situation d’itinérance, la responsabilité collective d’agir sur l’itinérance, le respect du rôle prépondérant et l’expertise du milieu communautaire en itinérance, ainsi que l’importance que nos actions respectent le droit des personnes qu’elles visent. L’approche globale mise de l’avant dans la politique est très chère au milieu communautaire. Celle-ci vise à comprendre la personne dans les multiples dimensions de sa vie : ses identités, son histoire, ses conditions de vie, ses besoins, ses relations, ses liens sociaux, ses capacités, ses ressources et ce, dans une vision globale. C’est-à-dire, prendre en compte les causes sociales, économiques, culturelles et politiques du phénomène de l’itinérance lorsque vient le temps d’agir. L’heure n’est donc pas à remettre en doute ces consensus mais bien que les municipalités s’engagent envers ceux-ci. C’est l’occasion pour elles d’affirmer, qu’elles utiliseront les pouvoirs qu’elles ont afin d’agir sur l’aménagement du territoire, les règlements municipaux, l’augmentation de l’offre de logement et de contrer le pas dans ma cour. Quatre éléments qui contribuent à la crise que nous vivons actuellement.
En deuxième temps, nous savons que le gouvernement à en main tous les arguments pour en faire davantage et augmenter massivement le financement associé à la prévention et la réduction de l’itinérance. Il est au fait des états de situation critiques dans plusieurs villes du Québec, de l’explosion du nombre et de la taille des campements dans toute la province, de l’allongement des listes d’attentes des groupes communautaires et du réseau de la santé et des services sociaux, de l’augmentation de la détresse vécue par les personnes en situation d’itinérance, des données issues du dénombrement de 2022 et des états de situation produits par les CIUSSS et CISSS sur l’ensemble du territoire. C’est pourquoi, nous jugeons essentiel que le gouvernement profite du sommet pour faire une annonce visant à bonifier de façon substantielle les moyens financiers pour la prévention et la réduction de l’itinérance au Québec. Cette bonification doit provenir du porte feuilles de la santé et des services sociaux, mais aussi des affaires municipales et de l’habitation, de l’éducation, de l’économie et de l’innovation, de l’emploi et de la solidarité, de l’immigration, de la sécurité publique et de la justice. Nous pourrons, dès lors, affirmer que le gouvernement respecte son engagement envers la politique nationale de lutte à l’itinérance en faisant de cette lutte une responsabilité collective.
Nous souhaitons que le fil conducteur des discussions lors du sommet soit de faire une réelle différence pour les personnes qui vivent actuellement dans des conditions de vie inacceptables et nous sommes convaincus, que cela passera notamment, par les engagements nommés précédemment. En 2023, cessons de tolérer l’intolérable, nous avons la responsabilité d’unir nos forces et de viser un réel changement social.
Boromir Vallée Dore
Directeur général Réseau SOLIDARITÉ Itinérance du Québec
Mémoire lutte à la pauvreté 2023
Mémoire - consultation publique pour le 4e plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale
pauvreté et l’exclusion sociale.
Membership RAPSIM
De la part du conseil d’administration du RSIQ
Le 2 juin 2023, le conseil d’administration du RSIQ a reçu une lettre du RAPSIM annonçant le non-renouvellement de son membership au RSIQ avec comme explication que les discussions n’ont pas permis d’aboutir à une entente satisfaisante concernant les représentations et les positions à défendre au sein du RSIQ. Une annonce publique a été publiée sur la page web du RAPSIM le 5 juin dernier.
Vu l’impact du départ de l’initiative territoriale représentant Montréal, regroupant plus d’une centaine d’organismes communautaires en itinérance, nous ressentons le besoin de réaffirmer l’identité de notre réseau, car nous nous sentons toujours en phase avec celle-ci : celle d’un Réseau solidaire et démocratique composé de regroupements et d’organismes qui lutte chaque jour pour améliorer les conditions de vies des personnes en situation d’itinérance au Québec. Le 30 mai dernier, nous avons adopté en assemblée notre planification stratégique qui met de l’avant trois valeurs qui nous rassemblent et motivent.
La solidarité
Depuis la création du RSIQ jusqu’à aujourd’hui, une des croyances qui guident nos actions est que l’itinérance est une responsabilité collective. Ensemble, nous sommes un vecteur de solidarité et des collaborateurs incontournables pour les autres acteurs en itinérance au Québec.
L’autonomie
L’autonomie de nos membres est essentielle au niveau régional où les groupes et concertations membres doivent être outillés et respectés dans la capacité d’autodétermination des structures répondant à vos besoins. Elle fait aussi partie de l’ADN de notre regroupement et de beaucoup des membres étant issus de l’action communautaire autonome.
L’engagement
Nous avons à cœur la responsabilité de soutenir l’engagement collectif et de travailler avec nos membres pour une vie associative riche. Nous sommes tout autant mobilisés à contribuer à l’établissement des conditions nécessaires à la réalisation de leurs missions.
La permanence et le CA du RSIQ sont proactifs afin de maintenir la capacité du Réseau de représenter toutes les régions du Québec.
Solidairement,
Gabriel Pallotta, président du conseil d’administration du RSIQ
Budget 2023 : Les plus démunis laissés-pour-compte, encore une fois
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Budget 2023 : Les plus démunis laissés-pour-compte, encore une fois
Montréal, le 22 mars 2023 – Afin de prévenir et réduire l’itinérance au Québec, le gouvernement doit intervenir sur le revenu des plus démunis, financer le logement social et augmenter le financement des organismes communautaires. Nos attentes émises lors des consultations prébudgétaires n’ont pas été répondues et nous constatons que le budget ne permettra pas de diminuer la crise actuelle qui pousse de plus en plus de personnes vers la rue au Québec.
Rien pour la lutter contre la pauvreté
La pauvreté dans laquelle trop de Québécois.es sont plongé.es porte atteinte à l’exercice de leurs droits les plus fondamentaux. Nous devons renverser la tendance actuelle qui pousse trop de personnes vers l’itinérance. Pour y arriver, le gouvernement doit prendre ses responsabilités et s’assurer que chaque personne ait accès à un revenu qui permet de combler ses besoins de base minimalement à la hauteur de la mesure du panier de consommation. Hélas, excepté la maigre bonification du crédit d’impôt pour la solidarité de 78$ par année pour une personne seule, le présent exercice ne laisse rien entrevoir quant à un accès à un revenu décent. À cela s’ajoutent 8$ en baisse d’impôt pour les personnes qui vivent avec un revenu de moins de 20 000$. Cette baisse d’impôt favorisant surtout les plus nantis privera l’état de 1,7 milliard $ en revenu par année.
Le logement social balayé du revers de la main
L’annonce du gouvernement de 1500 unités de logement d’ici 6 ans pour le programme d’habitation abordable Québec (PHAQ) est inquiétante. Tout d’abord, nous sommes loin des 50 000 logements sociaux nécessaires et demandés. Ensuite, de ce nombre, 500 unités sont réservées pour les promoteurs privés sans offrir de garantie pour le logement social pour les 1000 unités restantes. Rien pour diminuer la crise du logement actuel et assurer une diminution du nombre de personnes qui se retrouveront à la rue par manque de logements, par prix trop élevés de ceux-ci ou par éviction. Le financement du secteur privé par le PHAQ renforcit la financiarisation du logement. Phénomène qui est identifié comme un pas de recul pour le droit au logement par la défenseure fédérale du logement.
Financement des organismes communautaires
Le présent budget annonce un rehaussement de l’appui récurrent aux organismes communautaires de 36 millions $ par année. Bien que depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement ait bonifié les investissements dans le programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC), nous sommes loin du besoin de 460 millions $ identifié en 2019 par la campagne Engagez-vous pour le communautaire. En itinérance, un montant de 7 millions $ par année pour les cinq prochaines années a été annoncé pour rehausser le nombre de places en refuge d’urgence. Le contexte actuel justifie une telle annonce et nous nous réjouissons que ce montant soit récurrent sur 5 ans. Néanmoins, dans l’esprit de l’approche globale mise de l’avant par la politique nationale de lutte à l’itinérance c’est l’ensemble des secteurs en itinérance qui aurait dû être rehaussé. Il est essentiel que les fonds investis pour prévenir et réduire l’itinérance offrent la flexibilité nécessaire aux communautés pour agir sur ce qu’elles identifient comme prioritaire.
Si le gouvernement a les moyens de réduire ses revenus de 1,7 milliard $ par année par une baisse d’impôt et de mettre de côté 1,5 milliard $ pour les impacts d’une éventuelle récession, ce dernier a les moyens de garantir un niveau de revenu décent pour l’ensemble des Québécois.es., d’augmenter considérablement l’offre en logement social et d’offrir les conditions favorables pour renforcer le filet social.
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Boromir Vallée Dore
Directeur général Réseau Solidarité Itinérance du Québec
(581) 849-8951
dg@rsiq.org
Panel historique
Rencontrez 5 invités ayant tous.tes une longue expérience dans le domaine de l’itinérance qui se prononcent sur les lieux d’accueil et d’hébergement à haut seuil de tolérance et accueil inconditionnel le temps d’un balado et de capsules vidéos.
Le contexte pandémique a accéléré la création de nombreuses initiatives qui visaient à accueillir les personnes en situation d’itinérance qui ne trouvaient aucun endroit pour être hébergées ou simplement accueillies. Ces endroits se voulaient le moins restrictifs possible et adoptaient des pratiques inclusives de façon à « ne laisser personne dehors » : absence de règlements trop stricts, ouverture à accueillir des personnes en état d’intoxication, tolérance de la consommation à l’intérieur même du refuge, tolérance de la présence d’animaux de compagnie, tolérance plus grande face à des comportements dérangeants, etc.
Lorsqu’il est question de cette façon de faire, certains réfèrent à des lieux à haut seuil de tolérance et même à un accueil inconditionnel afin de ne refuser ou d’exclure le moins de personnes possible. D’ailleurs, il est commun depuis des années pour des organismes œuvrant en itinérance de mettre en place ces pratiques.
Nos intervenants
France Labelle, Directrice générale du Refuge des jeunes à Montréal
Michel St-Gelais, Directeur général à la maison d’Accueil pour sans-abri à Chicoutimi
Geneviève Quinty, Directrice générale Projet Intervention Prostitution Québec
Michel Simard, coaching en développement clinico-organisationnelle en itinérance et accompagnement des équipes d’intervenants.es en itinérance
Marie-Noëlle L’Espérance, Directrice, Prévention, intervention et programmes cliniques
Cet exercice s’intéresse donc à l’historique des réflexions portez en lien avec les pratiques qui favorisent la tolérance et l’inclusion des personnes en situation d’itinérance ou à risque de l’être.-
En réponse au contexte pandémique, il y a plusieurs ressources qui ont vu le jour qui avaient pour mandat d’accueillir d’urgence les non accueillis, les exclus. On s’est mis à parler d’accueil inconditionnel, de haut seuil d’acceptabilité. Mais concrètement, que veut-on dire par là? On s’apprête à faire un saut dans le temps, parfois d’un peu plus de 20 ans pour aller explorer quelles réflexions berçaient nos collègues de l’époque en lien avec ces deux thématiques.
On se questionne beaucoup sur les bonnes pratiques, l’accueil inconditionnel, le savoir-être, nos limites. Ces questionnements-là vont toujours faire partie de nos processus réflexifs. Chose certaine, avoir l’éclairage de personnes qui sont dans le domaine de l’itinérance depuis des décennies va toujours nous aider à cheminer.
Parfois on a l’impression que l’histoire et les revendications dans le domaine de l’itinérance se répètent. On se questionne…comment profiter de notre passé pour tirer notre épingle du jeu dans le futur?
À l’animation : Guylaine Racine, professeure retraitée en travail social
À la réalisation : Boromir Vallée Dore, Guylaine Racine, Alain bernier et Stéphanie Houde
Au montage : Maxime Couillard
L’ensemble du projet a été fait en collaboration avec l’Observatoire des profilages
Les femmes et l’itinérance
Bonne Journée international des droits des femmes
En cette Journée internationale des droits des femmes, consultez différents ouvrages, recherches et travaux qui parlent du phénomène de l’itinérance et des femmes.
Consultez notre mémoire pré-budgétaire
Consultation prébudgétaires de 2023 au ministre des finances du gouvernement du Québec
Nous venons de déposer notre mémoire prébudgétaire en vue du budget du gouvernement du Québec à la fin mars 2023.